a l'exterieur du restaurant.

Messages : 67 Date d'inscription : 30/10/2009

J'ai enfin retrouvé la trace d'Amalia, j'avais entendu parler par d'autres vampires, des nomades que l'activité vampirique était très forte du coté de New York.

J'observe un sourire narquois aux lèvres, ce petit couple à l'intérieur du restaurant... il vient de lui faire sa demande, elle est aux anges, il n'a presque pas bafouillé, il a mis un genou à terre à prit sa main et lui a demandé de devenir sa femme devant tout le monde. Une salve d'applaudissements s'est élevée de la salle entière. Puis le calme est retombé. Elle le regarde avec des yeux amoureux, elle se damnerait pour lui visiblement.

J'ai déja déjeuné pendant le trajet mais je n'ai rien contre un petit supplément. Patiemment j'attends qu'ils finissent.

APrès quelques longues minutes ils se lèvent enfin, elle était toute rouge par l'émotion, elle décide de sortir tandis qu'il va régler l'addition. Erreur.

Elle s'avance lentement sur le trottoir, adossé au mur je la regarde, inspire enfin si j'avais pu c'est ce que j'aurai fait. Et entame ma transformation. Puis j'avance vers elle et la prend par la taille

On y va chérie ? Rentrons à la maison.

Elle ne se méfie pas, comment le pourrait elle j'ai l'apparence et le son de la voix de son fiancé et futur mari. Elle s'abandonne et se blottit contre moi. Elle pose ses lèvres contre les miennes m'offrant un baiser. Je résiste difficilement à l'envie de la vider de son sang sur le champs, mais je suis joueur j'aime les extrêmes, cotoyer l'impossible, franchir les limites, au pire si j'arrive pas à me controler, elle mourra plus tot c'est tout.

Y a pas à dire ça donne certains avantages ce don ! Elle ne semble pas surprise que je ne l'embrasse pas comme lui devait le faire certainement, sur le moment dans l'euphorie elle ne voit pas grand chose.

Nous nous éloignons j'accèlère un peu le pas, il ne doit pas falloir énormément de temps pour payer une note, même si je me suis arrangé pour bloquer la porte du restaurant afin que le personnel mette un peu de temps à l'ouvrir.

J'Entraine ma bien aimée futur repas, dans la ruelle et la plaque gentiment contre le mur.

Je t'aime me sursure t elle les yeux pétillants.

Je souris. Amalia a raison les humains sont vraiment stupides.

Je réponds à son baiser puis descend doucement ma tete vers son cou, l'embrasse tendrement, je sens ses mains parcourrir mon dos et le caresser.... Puis tenter de planter ses ongles dans ma peau de marbre au moment ou mes crocs s'enfoncent eux dans la chair tendre et parfumée, son eau de parfumée fleurie est effacée par l'odorant arome de son sang qui circule dans ses veines.

Je m'en délecte.

UNe fois fini, je la lache et elle s'effondre, c'est alors que j'entend son futur mari la héler... Je la regarde et ris

Tot ou tard il t'aurait décu ma belle...

puis je pars dans un courant d'air à peine perceptible. Il faut que je poursuive ma route et que je retrouve Amalia.