A la recherche de...(jour1)(libre)

Spoiler:

Je n'étais pas encore arriver à Forks, mais je m'étais arrêter à New York, dans le Bronx. Ville fascinante je dois dire, les gens sont bizarre, et les hommes pervers, ainsi que répugnant ne manque pas. J'avais envie de m'amuser se soir. Alors je choisie de me préparer comme il se doit d'habiller mes courbe aussi ravissante qu'elles soient. j'aime faire tourner la tête à ses débiles, ses hommes qui ne respecte pas les femmes. Je veux les faire souffrir. Je finissais de m'habiller, de beaux sous vêtement noir, des bas résilles, des chaussure haute, un short, ainsi qu'une veste avec un petit tee-shirt en dessous, et j'étais partie pour sortir. Je déambulais à travers les rue, aucune proie en vue. Pour le moment du moins mais j'avais soif, terriblement soif, j'allasse dans une petite ruelle. C'est alors que je vis un homme, que j'avais remarque quelques secondes plus tôt il suivait une jeune femme, ou plutôt une jeune adolescente d'environ seize ans. Je le suivis aussi et fis mine de m'intéresser à lui, il tomba de suite dans le panneau. Arriver chez lui, je fis mon affaires, puis quand j'entendis ses os se broyer je le tua, le vida lentement de son sang. Puis je me débarrassa du corp, des draps, refis le lit. Puis je pris une douche, je m'autorisa une douche, elle lui servira plus alors autant que je m'en serve non? une fois doucher, rhabiller je descendis, les escalier de son immeuble, arriver en bas, je trouvis un bar, il avait l'air sympa. Par simple curiosité, j'entra. je ne vais pas vous décrire, les regards poser sur moi. C'était devenue une habitude. J'alla m'installer à une table aux fond. Les siège était cuivrer de noir, je m'y installa, et la serveuse vînt me demander si je voulais quelque chose à boire. Je commanda une sorte d'alcool que je ne bus pas je le passa à mon voisin en disant que c'était trop fort et que je n'aurais pas due le commander. Sa marcha. Pfff qu'il sont naïf !

Les victimes semblaient pourtant habituelles. Si j’avais été humain, j’aurais avalé plusieurs verres pour oublier l’aura taciturne qui se déployait sur moi. Les instants brulants et violents échangés avec Amalia me manquaient.
Mais je n’étais pas humain, et c’est sans doute cela qui me permit de voir avant les autres, de sentir même, la nouvelle venue qui attira tous les regards.

Belle, pâle au possible, dotée de longues jambes à faire tourner les têtes, son odeur fraiche m’apprit aussitôt beaucoup de choses. Une vampire sanguinaire. Sans clan de toute évidence. J’eus beau goûter les effluves que m’amenait l’air, elle ne possédait aucun pouvoir que je puisse remarquer. Pourtant, elle n’était pas inintéressante.
Au bout d’un moment, je plaquais sur le bar quelques billets, couvrant bien plus le prix du verre que j’avais fait semblant d’avaler, et m’éloignais.

Je me postais juste à côté d’elle. Penché sur son visage délicat, que l’immortalité avait sublimé.
Je sentis de nombreux regards se presser dans mon dos. De nombreux hommes devaient déjà regretter de ne pas avoir été plus rapide que moi. Pourtant, ils ignoraient la fière chandelle qu’ils me devaient pour les avoir devancés. Une telle beauté vampirique ne devait pas venir dans un bar pour autre chose que d’y trouver victime…
Je m’appuyais lascivement sur le bar.

-Et si nous buvions un verre ensemble ma jolie ?


Ma proposition qui pouvait sonner humaine avait un double sens. Je lui proposais une partie de chasse. Et ce n’était pas les victimes qui manquaient ici. Ainsi, je pourrais voir ses capacités. Ses yeux noirs se posèrent sur moi. De toute évidence, elle avait aussi faim que moi. Le moment promettait d’être passionnant.

Alors que je regardais de mes yeux ravageur et noyer par la haine, mais aussi la solitude, le bar immense je dois dire, je fus retirer de cette attraction alléchante quand quelqu'un vînt à moi. Un vampire, sanguinaire sa c'est sur. ses yeux étaient poser sur moi, ses yeux disaient beaucoup. Fascination? Désire? Intrigue? Peut être tout en même temps. je n'en sais rien, il s'installa et me proposa un verre? Sa phrase veut dire deux chose. Une partie de chasse? Non j'ai déjà chasser même si j'ai encore faim. De plus chasser un homme, avec un homme. C'est pas pratique et sa fait fuir.

"Proposition alléchante. Mais je chasse que les hommes. Et si vous êtes avec moi, je risque de faire fuir."

Un sourire sadique se dessina sur mes lèvres, embrasser trop souvent sans amour. Pas très gentleman de ne pas se présenter.

"Je m'appelle Angélique Spencer. Ravie de faire votre connaissance."

Lui dis je en tendant ma mains. Je ne loupais pas une minute de son regard. Qui je savais aux fond de lui, disais bien plus qu'il laissait apparaitre. Je suis désirable et fait tourner la tête aux hommes, j'en suis consciente. Je me dit que parfois je devrais arrêter de me salir ainsi, mais je n'y peut rien. Voir leur visage remplis de plaisir, puis ensuite remplie d'horreur, et de supplice d'arrêter, me procure un bien fou. Pourquoi? Car je n'ai pas encore trouver celui qui me rendra heureuse, qui me promettra respect et fidélité.

Mon pouvoir me permit de lire beaucoup de souffrance en elle. De solitude. Un vampire tourmenté. Ce n’était pas forcément ce dont les Foudres noires avaient besoins. Les êtres stables sont par définition plus facilement contrôlables. Malgré tout, vu le peu d’individus intéressants dans les parages, je n’avais d’autres choix que de me concentrer sur elle.
Après tout, tout ceux qui n’étaient pas nos alliés, étaient des ennemis potentiels.

-Je m’appelle Peter Witz, je suis enchantée de faire votre connaissance Angélique. Si je puis me permettre, ce nom vous va à merveille.

Je lui adressais un sourire charmant.

- Rassurez-vous, loin de moi l’idée de vous freiner dans votre chasse. Je voulais juste savoir si vos talents de chasseuse pouvaient rivaliser avec les miens.

Je parlais si doucement que le murmure de ma voix n’était audible que pour un être de mon espèce.
Je savais que mon défi la tenterait. Je m’écartais d’elle sans un mot. Prêt à commencer. J’avais déjà repérée une victime. J’avais le choix à vrai dire. Plusieurs jeunes femmes ne cessaient de me dévisager depuis mon arrivée. Mais je n’aimais pas les chasses trop faciles. Le goût du sang trop aisément gagné n’est pas aussi délectable que celui pour lequel on s’est battu. C’est une leçon fondamentale que j’apprends à mes recrues.

De fait, j’avais visée une femme d’une trentaine d’année, habillée plutôt classiquement, qui semblait particulièrement mal à l’aise. Elle n’était pas habituée à ce genre d’endroit où son amie dévergondée l’avait entrainée. Elle ne se laisserait pas facilement séduire. Le jeu n’en serait que plus amusant.

Se genre de jeux ne m'amuse pas du tout. Chasser? Je n'en avais pas envie, plus du tout! Cette homme, vampire Peter m'énervais assez. Non mais pour qui se prend il celui là? Savoir mon niveaux de chasse! Qu'est ce que cela pouvais lui faire. Je décida donc de lui donner une bonne leçon. Il voulait rivaliser? Bien! Je vais lui montrer qu'il ne faut pas sous-estimer les femmes. angélique me va à merveille. En effet un démon dans un corps d'ange. Pauvre type va! Je regarda la salle et trouva vite quelqu'un qui me fixais déjà depuis un moment je me leva alors et alla vers l'inconnue.

"On danse?" lui demandais je.

Le jeune hommes avait l'air surpris mais loin de là déçus. Je me déambulais me déhanchais près de cette homme qui demandais plus au fond de lui. Je mis mes bras autour de son cou et colla mon corps glacer contre le sien, puis regarda le dénommer Peter, un sourire en coin sur mes lèvres. Je chuchota quelque chose à l'oreille de l'humain et l'entraina par la main derrière le bar. Puis je fis se que j'avais à faire, mais je le mordis juste, aucun rapport physique. Pour preuve de mon repas, je retourna voir Peter et lui fis signe de me suivre jusqu'à ma victime.

"Convaincue?"

Ma victime était là sans chemise, la marque de mes dents sur son cou. Le sang qui l'entourait était très peut présent, je l'avais littéralement vider de son sang. Un incapable de moins ne tuera personne.

La vampire parut partante pour le défi. Elle aguicha rapidement le premier homme venu. Ne cherchant pas le moins du monde la difficulté.

Puis l’entraina à l’extérieur. Un instant plus tard elle vint me trouver, me guida pour que je vois son œuvre. L’homme était sur le sol. Pâle comme un linge. Totalement vidée de son sang.

-Je ne voudrais pas vous offenser mais n’importe quel vampire basique pourrait y parvenir aussi vite. Cet homme n’attendez que vous. De plus, votre chasse n’a rien de discret. Le bar entier a vu votre départ. Vous êtes trop aguicheuse pour passer inaperçue. Quand au corps, sa mort que vous n’avez même pas déguisée va être un mystère pour la police, et les humains seront sur leurs gardes. Ce n’est pas ce que l’on peut appeler un travail net. D’autant que vous êtes sur les terres de mon clan. Je m’attendais à plus d’originalité et de discrétion de votre part.


J’avais beau la sonder, l’âme de cette immortelle m’apparaissait brisée en tout sens.

-La chasse ne vous intéresse pas, n’est ce pas ? Qu’attendez vous donc de votre non vie ?

La colère enfin. Il avait fallut insister pour la voir apparaitre. Non je ne voulais pas d’elle dans mon clan. Elle semblait trop déséquilibrée pour cela. Par contre, cette nuit, j’avais bien envie de la pousser à bout pour voir jusqu’où elle était capable d’aller. La tester. La connaitre mieux. Voir quelle menace elle incarnait.


En un bond je fus devant elle. Je souriais. Amusé de sa classe. Amusé de son courroux. Lui adressant un regard charmeur et outrancier à la fois. Je désirer me battre. Je désirais durcir mes muscles qui en avait assez d’entrainer des parodies de vampires. J’avais envie de réveiller le monstre en moi. Qu’il rugisse et se plaigne. Je désirais la voir répondre à mon appel sauvage. Je savais que la haine en elle ne tarderait pas. Et à mesure que je désirais provoquer le combat. Je la désirais elle, maintenant, tout de suite.


-Pas si vite ma belle, pas avant d’avoir goûté à mes poings.


Je me jetai sur elle. Vorace, je la mordais au cou aussi sensuellement que violemment. Tout était mêlé. Et c’est pour des instants pareils que j’aimais mon immortalité.

HJ: C'est partit

En un rien de temps il fut devant moi. Son sourire me déplaisais et je compris mon erreur. Cet homme était un malade. Ses poings, bah qu'il frappe c'est pas sa qui va m'arrêter. C'est alors que je fus projeter contre le mur le plus proche. Ses dents me transpercèrent le cou, aussi sensuellement. Une haine infinie grandis en moi! Je vis en lui tout se que je détestais le plus. Hommes pour lesquels "j'existais", je les détruisais après un instant qui leurs semblais parfait. Un grognement sauvage, tel une lionne s'échappa de mon torax. je le poussa violament contre le mur dans face et mordis sensuellement et sauvage sa lèvre infèrieur, avant de prendre posséssion sa langue avec laquel je joua. Il va payer. Et moi aussi je le sent... Je compris alors pourquoi j'étais sans clan! Car je suis incomprise, et annormal. Je fais peur, je ne suis pas stable. J'ai des doutes en moi. tout bon vampires qui se respecte ne douterais pas de lui. C'est se que l'ont m'a toujours dit. De plus je vend en quelque sorte mon corps. Ma paye? Le sang de mes victimes. Sa semble horrible à entendre...mais aux fond c'est un sensation bien plus étrange.

Enfin. Elle participa au combat. Et ses lèvres mordirent les miennes enchaînées à la même passion. Je riais aux éclats en tirant sur sa tignasse blonde pour que sa gorge soit déployée. A nouveau, je la mordais. Elle se débattit. Nous échangeâmes une salve de coups brutaux qui tonnèrent dans la ruelle. Je devais restreindre mon ardeur. Mais, les humains des environs trop ivres devaient s’imaginer qu’un orage éclatait. Et sur ce point, ils n’avaient pas tout à fait tord.

Je le saisissais et la jetai contre le mur qui se fissura. Je riais en me jetant à nouveau sur elle, près à l’écraser. Mais elle roula sur le côté et lança elle-même une attaque que j’évitais à mon tour. Je l’attrapais par la taille, arrachais une poignée de ses cheveux or qui glissèrent sur le sol et léchais son oreille en riant.


-Que le meilleur gagne ma belle…


Je m’élançais en courant à une vitesse éclair dans les ruelles les plus sombres et les moins empruntées de la ville. Elle me suivait. La rage en elle était trop forte pour qu’elle ne puisse pas désirer me moucher une bonne fois pour toute. Le combat promettait d’être passionnant.

La violence qu'il mettait dans ses geste ne faisais que rendre ma rage plus forte et virasse de secondes en secondes. Sacrer Peter, il doit être sado! Quoique je peut parler. Il courus dans une des ruelle, il fuit? Mon pauvre je vais pas te lâcher. Je me leva de son attaque assez secouante surtout après la morsure infliger et les cheveux arracher, sa je n'avais pas apprécier par contre. Je me releva et m'élança dans la ruelle à mon tour puis j'arrivai à lui je l'attrapa par le cou, et le projeta contre le sol, désert où aucun humain n'oserais s'aventurer. ni même un chat ou un chien. Je le releva de ma main, et le projeta de nouveaux, cette fois-ci dans un immeuble abandonner, dévaster par les gags du coin. Il atterrissait près d'un mur et avant qu'il ne tombe aux sol, je fus devant lui pour le rattraper et déchirer sa chemise. Son torse, parfait à vue d'oeil, aussi dur et pâle que la pierre se vis vite marquer par mes main. Mais les traces partent vite lorsque nous sommes un vampire.

"Oui que le meilleur gagne."

Ce n'était pas un jeux, ni une vengeance, plutôt une occupation. Je dois dire que cela m'écœurais assez. Mais je ne suis pas si fragile que sa, je peut être sadique quand je le veut vraiment. Mais j'étais bien trop en colère pour sa. De plus je ne pouvais le tuer, aux risque d'avoir son abrutit de clan sur le dos.

Visiblement se type est encore puceaux. il connais rien aux sexe et encore moins aux femmes, peut importe il sait qu'il a gagner d'avance. Je n'ai pas envie de continuer son jeux, sa ne m'intéresse pas! Finalement je n'ai rien à prouver. je me releva, puis d'un geste remboita mon épaule que ce pauvre abrutit m'avait déboiter. Il croit quoi là? Que je suis une poupée barbie à qui on peut arracher et remettre les bras? Non mais sans blague. On croirait un gosse qui brule, arrache et abîmes les poupée de sa petite sœur. Je regard ma veste! merde! elle est foutus. Je m'en débarrassa d'un geste arrachant le peut de tissus qui restais. Puis je rejoignis l'autre. Comment il se nomme déjà? Rah zut! j'ai un trou de mémoire. Bon ok je sais c'est bon cet brute se nomme Peter. une fois que je fus retrouver en top je le rejoignis sur le toit. une fois devant lui, je passa ma jambe droite derrière sa jambe gauche. Sa s'appelle une prise de karaté. Une fois qu'il fus par terre. Je mis mon pied droit munis de talon aiguille, sur son torse et mon pied gauche de l'autre coter de son corps. J'appuyai avec mon pied, poser sur son torse. De toute mes force. On pue entendre un craquement! Oups! Dommage pour lui je vient de lui faire un trou. En effet, j'avais appuyer si fort que mon talon avait transpercer sa peau de marbre. Une femme vampire n'a pas la même force qu'une femme humaine comme vous avez pue le constatez. Bref je ne fis pas attention aux troue fait par mon talon, car de toute façon quand je l'aurais retirer, le trou se bouchera quelque minute après. Néanmoins, le trou, tant que le talon est dedans, n'est pas sans douleurs. Je posa mes main sur ma taille et me pencha légèrement, assez pour que les reflets de la lune puissent éclairer mon visage.

"Bon, ta gagnée! Content! Je dois avouer que à se jeux je suis pas douer. Je couche avec mes victime. Puis les tuent. Mais j'en ai marre. Marre de jouer avec mon corps. je te remercie de m'avoir fait prendre conscience de cette chose là. Je vais partir. Quitter la ville et te laisser toi et ton clan! Je suis lucide. Je sais que vous êtes puissant, vue ta force. Donc je ne m'aventurerai pas sur se terrain."

J'appuyai un peut plus sur mon pied. Se qui lui arracha un cris de douleur. Et moi, m'arracha un sourire en coin:

"Sa fais mal? désoler ce n'étais pas mon attention."

Puis je recommence. ce n'étais rien par rapport à ce qu'il m'avait fait endurer. Je n'aurais aucune marque heureusement, et les morsures ont déjà disparue.

"Néanmoins je quitte la ville, mais ne cherche pas à me retrouver! Je vous laisses tranquille alors fait de même. Fais comme si tu ne m'avais jamais vue et jamais rencontrer compris?"

je n'attendis pas sa réponse et retira mon pied. Puis je sauta, d'un saut parfait du toit. On aura pue croire que je m'étais éclipser en plein vol, aucun bruit. mais j'étais bien arrivé en bas, et ceux depuis plusieurs secondes, voir minute. Je quitta cette immeuble, dégoutant. Je m élança dans les rues, puis rejoignis la forêt. Je fis un pause et m'adossa à un arbre.

"J'en ai marre!"

J'en avais marre de cette non vie débile. si seulement j'étais morte se soir là. le soir où tout c'est fini mais où tout à commencer en même temps. Je n'avais aucun but. Une fois que j'aurais retrouver Edward et que je me serais assurer qu'il allait bien. Que ferais je. Peut être irais je voir les Volturis. J'en ai entendue parler. ON m'a dit qu'ils maintenaient les lois, et eux seuls décidaient de quel vampires vivait et mourait. Faudra que je réfléchisse a un moyen de les décider à me tuer. Si un jour je devais aller les voir...on ne sait jamais.

Lorsqu’elle me rejoignit, elle se jeta vivement sur moi. Amusé, je la laissais me mettre à terre. Puis, elle perça mon torse de l’un de ses talons aiguille. Je poussais un cri de douleur terrible.

Et tout en me faisant mal, elle jetait les armes oralement. Folle, complètement folle !
Elle promit de quitter New York. Et relâcha mon buste lui permettant de se reconstituer.

La douleur avait à nouveau réveillé la rage en moi. Mais je ne la désirais absolument plus. Elle était trop déstabilisée mentalement pour moi. Trop stupide. J’avais envie de lui arracher tous les membres et d’y mettre le feu instantanément. Mais je savais que c’était inutile. Tuer des vampires isolés n’était pas ma mission.


Elle sauta du toit. Je me glissais jusqu'à l’extrémité.
J’avais envie de la suivre pour la combattre et la détruire. Je résistais. Amalia serait agacée de me voir perdre mon temps à cela.

-Alors pars, mais si tu reviens je te tuerais ! criais-je sur ces pas.