[suite d'Amalia] Amalia s'embete (suite et fin -18 attention)

modo HJ et responsable design Messages : 756 Date d'inscription : 03/08/2009

Ma proie et moi même gagnames très vite mon foyer bien que ma victime ne sache qu'elle venait de se jeter dans la gueule du loup enfin entre les crocs d'une vampire. Mais il devait s'estimer heureux mourir de la main de la belle Amalia était un honneur.

Il ne remarqua même pas l'étrangeté des lieux bien trop absorbé par ce qu'il voulait faire de la suite, rien ne le dérangea dans le fait que je n'avais aucun bagage, que je connaissais les lieux pour le guider jusqu'a ma suite. Non stupide humain, il ne pensait qu'au plaisir potentiel qu'il allait pouvoir prendre.

Je le guidais vers ma suite, ma main gantée posée sur son avant bras. Il me tutoyais déja certain de la destinée de sa journée... ridicule ! il était loinde se douter de ce qui l'attendait.

Il regarda ma suite presque émerveillé, elle était spacieuse, une des statues me représentait mais la encore il ne vit rien... pathétique, je n'avais plus aucun doute maintenant je savais ou était situé l'intelligence infime des humains males... bien plus bas que je ne l'aurai imaginé

tu me plais tu sais Amalia dit il en posant sans ménagement ses mains vers la chute de mes reins.
Toi aussi..; euh... (flute je me souvenais plus du prénom de mon déjeuner...tant pis l'essentiel n'était pas l'intitulé du mets mais le mets en question )...

Je décidais d'entrer dans son jeu, et de le chauffer un peu afin de faire croitre encore plus son débit sanguin et d'en savourer les effluves annonciatrices d'un repas succulent. Il se prit au jeu et pas qu'a moitié, ses mains aventureuses se posèrent sur mon fessier qu'il pétrit nonchalamment, j'en profitais pour retirer mon chemisier qui eut l'effet instantané de faire monter ses pulsations cardiaques, la perfection vampirique avait certains avantages non négligeables. Il retira tout aussi vite sa propre chemise dévoilant son torse musclé de sportif.
Je m'écartais un peu pour lui donner l'illusion que je contemplais son corps...mais ce n'était pas ça que je contemplais... je pouvais ressentir le parcours de son sang dans ses artères, ruisseau glorieux et délicieux jusqu'a ma gorge. Je secouais un peu la tete

* non pas maintenant *

C'est vrai je ne devais pas penser à ça maintenant son sang parfumé me pénétrant et me revigorant, j'avais envie de m'amuser un peu et de lui laisser supposer que je jouais avec lui et non que je me jouais de lui. Je posais ma main gantée sur son torse avenant et en dessinait de l'index les contours, descendant jusqu'a ses abdos finement soulignés, ma main s'égara quelques instants sur son entre jambe et au gémissement qu'il émut je sus qu'il était pret.

Attends... dis je en le guidant vers le fond de ma suite.

La encore il ne remarqua pas les chaines qui pendaient du plafond, et les poignets de métal qui ornaient leur extrémité. Je positionnais ses mains dans les harnais, il se laissa faire visiblement pressé d'assouvir certains fantasmes.. Je tirais sur la réa pour faire monter les bracelets de métal dans lesquels étaient enserrés ses poignets. IL se tenait debout devant moi, les bras levés retenus pour les chaînes... et il souriait bêtement...
J'attrapais un couteau et posais mon index sur la lame effilée, la faisant tournoyer légèrement. J'appliquais la lame contre son torse, et dessinait quelques arcs laissant quelques griffures. Puis j'appuyais plus fortement enfonçant la lame dans la chair, un filet de sang suinta. Je regardais en souriant ce liquide si divin se répandre doucement. Je levais les yeux vers ma proie, il souriait toujours, visiblement c'était un adepte des pratiques sado maso. Il semblait attendre la suite, il ne falllait pas que je le déçoive quand même. Je posais mes lèvres contre son torse, puis remontait lentement vers la blessure, je léchais doucement le sang qui en suintait tout en ne quittant pas l'humain des yeux...il semblait adorer. Il m'offrait un encas à mon festin et semblait apprécier la situation...si seulement il avait pu lire dans mes pensées à cet instant....
Je continuais de lecher langoureusement ce nectar qui s'échappait, m'ouvrant un peu plus l'appétit. Je remontais tout en contiruant de laisser courir ma langue sur son torse. Puis brusquement d'un mouvement rapide j'attrapais sa jugulaire entre mes crocs, absordant le reste de mon repas, le sentant se vider lui petit à petit de toute vie dans des derniers soubressauts...

une fois mon repas achevé je m'écartais doucement, il avait les yeux grands ouverts qui semblaient se demander ce qui lui arrivaient, il avait sans doute prévu de mourir de plaisir je lui avais offert simplement la mort et m'étais gardé le plaisir.

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