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 |  Sujet: Présentation de Carlisle Cullen  Dim 9 Aoû - 20:00 | |
| VOTRE PERSONNAGE Nom : Cullen Prénom : Carlisle Age : 23 ans pour l'éternité | 363 en réalité Race : Vampire végétarien Clan : Clan d'olympic / Fondateur de la famille Cullen Particularité : Une grande compassion et une casi immunité contre le sang. Affinités et inimitiés : Carlisle apprécie la majeure partie des gens peuplant la planète. Homme bon, tous ceux qui suivront le droit chemin auront une place auprès de lui. Mais ceux sans qui il ne pourrait vivre sont bien évidement les siens, sa famille. Esmé, Edward, Rosalie, Emmett, Alice et Jasper. Que ferait-il sans eux ? Lui-même l'ignore. Son travail lui occupe de nombreuses heures de ses journées, mais en tant que docteur renommé, cela ne se commande pas. L'hôpital représente une importante partie de sa vie sans laquelle il ne serait plus lui-même. C'est un moyen comme un autre de se prouver à lui-même qu'il n'est pas un monstre. Ce qu'il déteste par-desuss tout d'ailleurs. Sa propre existance. Bien qu'il est dépassé ce cap, Carlisle garde à l'esprit sa nature. Il est le plus dangereux prédateur au monde, et pourrait en quelques secondes détruire des dizaines de vie. Perdre le contrôle de lui-même et tuer des vies humaines est ce qu'il craint le plus.... après la mort d'un des siens, bien évidement. Côté coeur : Faut-il forcément écrire deux lignes pour décrire la passion qui l'habite pour le plus bel être au monde ? Esmé Anne Platt Cullen. Celle qu'il sauva de la mort il y a un siècle de cela. Celle sans qui il ne peut concevoir la vie. Esmé n'a pas de don connu. Pourtant, lorsque Carlisle est à ses côtés, il arrive à se détendre comme jamais autrement. Peut-être est-ce là le don de sa femme sur lui : pouvoir l'apaiser quelque soit la situation. Il l'aime, et donnerait sans hésiter sa vie pour la sauver. Personne sur l'avatar : Peter Facinelli Votre histoire : 1640, Londres. Un paysage aux couleurs automnales. Un petit village aux nombreuses maisons, traversé par un fleuve silencieux et calme. Des paysans dans les champs travaillaient sans un bruit. Et puis soudain, un cri provenant d'une des demeures. Carlisle était né... Il grandit dans l'absence d'une mère, la sienne mourant après lui avoir donné la vie. Ce fût alors son père, prêtre à la foi bien ancrée et aux croyances extravagante. Pourtant, le fils suivit la voix de la religion et son père dans ses idées parfois farfelues. Et c'était peu dire... Croyant jusqu'au bout des ongles, le père Cullen menait une chasse sans merci aux diabolités en tout genre. Etait alors répertoriés les sorcières, les loups-garous... et les vampires. Beaucoup d'innocents furent mener aux bûchers, victimes des extravagances de cet homme. Et lorsque la mort se rapprocha de lui à grands pas, le flambeau changea de main. Après tout, n'avait-il pas enseigné à son fils tout ce que lui savait ? Il serait un digne successeur, il n'en doutait pas une seconde. Et pourtant... Carlisle n'était pas aussi fou que son père. Au contraire bien plus intelligent, il ne voyait pas comme son père des démons là où il n'y en avait pas. Déception pour le paternel. Pourtant, un beau jour, le jeune homme blond découvrit réellement un repère de vampires. Armés de pelles et pieux, il emmena à sa suite des villageois pour chasser les êtres mauvais. Mais la course poursuite avec l'un des vampires tourna à la tragédie. Carlisle fût alors mordu tandis que deux de ses camarades perdaient la vie sous les crocs du démon. Connaissant le destin que réserverait son père à tous les contaminés, il n'y eut pas à réfléchir : il devait se cacher. Luttant contre les cris et la douleur, il trouva refuge dans une cave, entassé sous des pommes de terres pourries. Carlisle était alors âgé de 23 ans... Une fois sa transformation effectuée, il sût pertinement ce qu'il était devenu. Dégoûté de lui-même, il tenta à maintes reprises de mettre fin à sa propre vie. Mais tuer un vampire n'était pas si aisé, il le comprit rapidement. Terré au fin fond de la forêt, Carlisle s'éloigna alors le plus possible de la population humaine, espérant ainsi - sans une goutte de sang - mourir de fin et trouver enfin le repos qu'il souhaitait tant. Mais la bête l'habitant eût raison de son esprit. Ses membres le dirigèrent automatiquement. Une biche passant près de sa tanière le sauva de ces mois de dépression. Le sang animal était donc un échappatoir. Il ne serait pas un monstre. Ce fût ainsi que naquit sa philosophie. Après avoir gagné la France à la nage, Carlisle étudia pendant plus décennies en Europe. Son voyage le mena un jour en Italie, où il fit la rencontre d'un grand clan de vampires : les Volturis. Leur savoir e l'impressionna grandement. Cependant, le jeune homme ne resta à leur côté que durant quelques décennies seulement. Leur incompréhension face à son régime alimentaire les dérangeait. Nombreuses furent leurs tentatives pour le persuader de revenir à la forme "normale" de son espèce. Combien de fois dût-il lutter contre l'envie d'aller mordre une proie que ses amis lui servait ! Mais il tint bon. Il lui fallut plusieurs siècles pour botenir une parfaite maîtrise de lui-même et pouvoir s'occuper à sa nouvelle vocation : sauver des vies humaines en pratiquant la mèdecine. Après son passage chez les Volturis, Carlisle décida finalement de donner sa chance au Nouveau Monde. Ce fût à Chicago - au début des années 1900 - que Carlisle créa son premier fils. Atteind de la grippe espagnole, le mèdecin savait que sa vie ne tarderait pas à le quitter. Il devait pourtant le sauver, quel qu'en soit le prix. Après tout, n'avait-il pas promis à la feu mère de ce garçon qu'il sauverait son fils ? Et puis, l'idée de se créer un compagnon l'avait suivit depuis de nombreuses années maintenant. Après trois siècles de solitude, la vie commençait à vous peser. Mais pouvait-il pour autant faire à ce jeune Edward ce qu'on lui avait fait subir plusieurs centaines d'années auparavant ? Ce fût donc avec hésitation que Carlisle injecta son venin dans le corps du garçon. Ce fût difficile. Très forte fût sa volonté pour ne pas vider de son sang celui qui deviendrait son premier fils. Mais il réussit pourtant. Edward fût le premier à rentrer dans la famille de Carlisle. Par la suite, il sauva Esme, sa femme, en la trasnformant elle aussi. Rosalie vint peu de temps après, tout comme Emmet ramené par cette dernière. Alice et Jasper vinrent d'eux-même se joindre au clan qui comportait maintenant sept membres, chacun ayant accepté le régime alimentaire du patriarche de la famille. Une nouvelle vie se dessinait maintenant face à eux. Les Cullen arrivèrent un jour à Forks, une petite ville pluvieuse parfaite pour la "peau sensible au soleil" des vampires. La vie de Carlisle ne changea cependant guère. Il était après tout resté le même. L'amour qu'il donnait autour de lui ne se comptait plus, tout comme les vies qu'ils ne cessaient de tenter de sauver. L'avenir se profilait devant lui et sa famille. Ne restait plus qu'à voir ce qu'il leur avait réservé. Mais quoi que cela puisse être, ils l'afronteraient, ensemble. TEST RP : - Spoiler:
Un de mes postes sur un autre forum, avec Esmé ici, qui joue sur l'autre forum Bella. ]
Ainsi, c'était décidé. Nous quittions Forks ce soir même. La réunion que nous venions d'avoir, les miens et moi, avait été moins ardue que je m'y étais attendu. Certes, Rosalie avait été très enclin à notre départ, comme nous tous j'imagine, mais elle avait bien dû accepter la situation lorsque je donnais le mot final. Nous ne pouvions laisser Edward repartir seul. Esmé ne l'aurait pas supporter. Moi non plus d'ailleurs. J'aimais mes enfants, Edward d'autant plus qu'il était le premier né de ma famille. Mais je ne pouvais m'empêcher de m'en vouloir lorsque l'un d'eux se retrouvaient dans une telle situation, le forçant à partir. Je me sentais coupable. Avais-je échoué dans mon rôle de père ? Avais-je échoué dans mon rôle de guide et de soutien ? Qu'aurais-je pû faire pour limiter les dégâts ? Raisonner Edward ? Il était têtu, très têtu. Quoique je puisse dire ou penser, rien n'aurais pu le faire changer d'avis. Il l'aimait pourtant. Bella était son âme-soeur, nous le savions tous. Et pourtant, il l'abandonnait. Pour son bien à elle. Je pouvais aisément imaginer la douleur que cela devait lui faire. Se forcer à abandonner celle qu'il aimait. Jamais je ne pourrais me séparer d'Esmé. Pourquoi se forçait-il alors à faire cela ? Il y avait forcément une autre solution.
Esmé serra un peu plus son étreinte autour de moi. Assis sur la chaise de mon bureau, ma femme se tenait sur mes genoux, le visage enfouis dans mon cou. La situation l'avait chamboulé plus que jamais. Elle qui avait été tellement heureuse depuis l'arrivée de Bella ! Voilà maintenant que tout son bonheur retombait tel un château de carte au vent. Et voir notre fils aussi malheureux n'aidait en rien. Je soupirais et déposais un délicat baiser sur le haut de sa tête ; elle ne bougea pas, comme statufiée. Je n'appréciait guère l'état dans lequel mon fils plongeait ma femme, mais je ne pouvais lui en vouloir : i ne l'avait pas fait intentionnellement, et souffrait déjà bien assez. Dans le couloir, j'entendis les pas légers d'Alice arriver devant la grande porte en bois de mon bureau. Elle frappa doucement et je l'invitais à entrer. Esmé avait redressé la tête pour regarder notre fille venir jusqu'au bureau. Son visage d'ordinaire si joyeux était à présent sombre et triste. Cela m'alarma, bien que je me doutais de la raison : le départ ne lui plaisait guère non plus.
« Que puis-je pour toi Alice ? »
« C'est Bella. J'ai eû une vision d'elle. Elle est abattue Carlisle. Elle risque de se laisser mourir si tu ne fais rien. »
Je levais un sourcil puis soupirais. « C'est à Edward, et non à moi, de m'occuper de cela. »
« Il le sait déjà. Il a même vu ma vision aussi. Mais il dit qu'elle s'en remettra. Que le mieux à faire est de sortir de sa vie. Mais... Je n'y crois pas Carlisle. Je m'inquiète vraiment pour elle... »
Je ne répondais rien. La ténacité d'Edward de ne pas aller voir Bella m'inquiètait sur son état mental. Je sentis le regard tendre de mon épouse se poser sur moi. Bella... Devais-je aller la voir ? Si mon fils l'apprenait, il me tuerait, c'était certain. Ou du moins m'en voudrait pour les dix prochaines années. Mais devais-je pour autant laisser sa belle-aimée dépérir ainsi, sans aide et explication quelconque ? Un sourire encourageant d'Esmé termina de me décider. Je déposais un tendre baiser sur ses douces lèvres et quittais mon bureau sous les yeux d'Alice et d'Esmé. Alors que je sortais de la maison, je respirais profondément. Bien, Edward n'était pas là. Il n'aurais aucune chance de deviner où j'irais avant mon retour. Tant mieux, je n'avais pas envie de me prendre le bec avec lui. Préférant mes pieds plutôt que ma Mercedes, je m'enfonçais à vitesse vampirique dans les bois épais de la contrée de Forks. Le vent fouettait agréablement mon visage de marbre, chassant durant quelques minutes les pensées sombres et négatives de mon esprit. Mais déjà, je devais arrêter ma course, me trouvant face à une maison aux couleurs délavées : celle du chef Swan.
J'entendais deux battements de coeurs provenant de derrière les murs. L'un, au rez-de-chaussé, était sans hésitation celui du chef de police. Je pouvais l'entendre râler contre Edward pour ce qu'il avait fait à sa fille. Je ne pouvais que le comprendre, et appréhendais d'autant plus l'état dans lequel j'allais trouver l'humaine. A l'étage, le coeur de Bella était instable. Cauchemard ? Tristesse ? Qu'un moyen de le découvrir. Silencieusement, je bondis hors de sous les branchages et sautais sur la branche de l'unique arbre de leur cour. Par chance, elle donnait directement sur la chambre de l'adolescente. Et là, je la vis. Pâle, presque autant que moi, ses traits étaient tirés et des larmes coulaient le long de ses joues. Alice avait raison : Bella était réellement abattue. La voir dans cet état me mis mal à l'aise. Après tout, dès notre première rencontre, je l'avais déjà considérée comme ma propre fille. Je pénétrais discrètement dans sa chambre alors qu'elle collait sa tête dans ses bras. Elle la releva subitement et je sentis son souffle se couper alors qu'elle me reconnaissait. D'ailleurs, elle ne semblait guère ravie. Surement craignait-elle que je lui tienne les même propos que mon fils. La voir de près, et non à travers une glace, me permis de remarquer son état. Il était même pire que ce que j'avais pû remarquer quelques secondes auparavant. Je ne pus alors m'empêcher de murmurer :
« Bella... Tu as une mine horrible... »
Bien entendu, ce n'était peut-être pas la meilleure chose à dire. Je me serais frappé. Je remarquais alors une nouvelle larme couler le long de sa joue. Lentement, j'allais m'assoir près d'elle et, de mon index, essuyais la goutte d'eau. Que pouvais-je dire pour la rassurer, moi qui n'arrivais même pas à rassurer le coeur de ma femme ? Alice aurait mieux fait de venir elle-même : après tout, elles étaient amies. Elle aurait sû les mots qu'elle voulait entendre. A la place, je plongeais mon regard doré dans celui presque mort de l'humaine.
« Je sais que c'est dur. Mais tu dois être forte Bella... Au moins pour ton père. Edward... »
Je me taisais, me mordant la lèvre. Par où commencer ? De quel droit pouvais-je lui expliquer les raisons qui avaient dictées mon fils à agir ainsi ? Les comprendrait-elle au moins ? Je l'ignorais. Mais si je n'essayais rien, si je ne disais rien, je craignais que son état ne s'agrave. En tant que docteur, je pouvais affirmer sans craindre de me tromper qu'un état mental tel que le sien se répercutait négativement sur le corps. J'allais ajouter quelque chose lorsque je la vis bouger. Je me tus et patienta, lui laissant le temps de réagir si elle le souhaitait.
VOUS Votre prénom/surnom/ pseudo : Carlisle Cullen m'ira très bien Avez vous bien lu le contexte et lu et signé le règlement ? Bien sûr. Faut d'ailleurs que j'aille le signer. ^^ pourquoi avez-vous choisi ce personnage : Car Carlisle est de loin mon préféré. Je trouve que c'est un personnage énigmatique, dont le caractère m'attire énormément. comment avez-vous connu le forum : Grâce à Esmé. Présence sur le forum : Ca dépend, mais comptez sur moi pour être présente quand il le faudra.
Dernière édition par Carlisle Cullen le Dim 9 Aoû - 20:19, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:06 | |
| Merci ma belle.  D'autant plus que tu connais ce rp, puisque je l'ai fais avec toi ! x) Pressée de pouvoir partager un rp avec toi Esmé. |
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:07 | |
| Bienvenue père , mais petit bémol dans ta présentation , Bella , ici , est une vampire sanguinaire , ... Oui , Bella , je sais, ici , je ne suis pas modo , mais que veux tu , ...  |
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Amalia Landelli
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:15 | |
| bonjour carlisle et bienvenu  mais effectivement ta présentation n'est pas bonne ici bella ne vous connait pas, la famille cullen, c'est une sanguinaire elle s'est faite transformée avant d'arriver à Forks il faut que tu changes ta présentation sur ce point la, sinon le reste est parfait  | |
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:16 | |
| Alice : Oui, c'est bien ce que j'ai lu dans le contexte. Mais maintenant que tu me le fais remarquer, j'ai copier/coller cette histoire d'un autre forum où je joue aussi Carlisle. Et j'avoue avoir complètement zappé de changer cette partie où je mentionne Bella. Autant pour moi ! ^^
Amalia : J'allais le faire justement. ^^ |
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Edward Cullen
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:17 | |
| Bienvenue! Rien à ajouter à ce qu'a dit Amalia lol ^^ | |
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Bella Swan
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 20:45 | |
| bonjour Carlisle ( désolée pour le gros retard) d'ailleurs ce serait plutôt bonsoir maintenant  ta présentation est validéemerci de ton inscription J'aime beaucoup ton style d'écriture et le test RP était très intéressant à lire  Je te laisse prendre connaissance du contexte ( si ce n'est pas déjà fait) et je te souhaite un bon jeu parmi nous si tu as des questions n'hésites pas ( très bel avatar au passage  ) PS : tu vas avoir beaucoup de mal à me faire devenir végétarienne | |
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| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 22:20 | |
| Bienvenue papa Cullen !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est pas juste, tout le monde à sa moitié et moi j'ai toujours mon Emmett !!! Papa, trouve moi un Emmett par pitié !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! |
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charlie swan
Messages : 108
Date d'inscription : 08/08/2009
| | Sujet: Re: Présentation de Carlisle Cullen Dim 9 Aoû - 22:35 | |
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